Vous désirez organiser une expédition spéléo, montagne, ... L'éclairage
est pour vous un problème sans solutions? Vous voulez des mesures de
température, de pression ou encore de pluviométrie ? Faites appel à TechTonique
!
Si votre projet nous intéresse, nous sommes prêt à vous mettre à disposition nos
produits. En échange, nous demandons par exemple quelques photos (où nos
produits sont si possible visibles!), un petit compte rendu de votre
expéditions, y compris l'utilisation de nos produits, afin d'illustrer notre
site WEB. Nous pouvons aussi être sité dans d'éventuels articles ou disposer
d'une publicité dans une publication. N'hésitez donc pas à prendre contact avec
nous pour discuter d'un soutien matériel ou technologique !
La Patrouille des GlaciersTechTonique participe à la patrouille des glaciers en fournissant à deux patrouilles Gruyériennes des éclairages à leds hautes performances LedLampe Pro. Le top pour le ski-alpinisme ! ..., Suisse |
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Expédition sous glaciaire en Islande à KverkfjöllSPELEMAT et TechTonique ont participé à l'expédition sous glaciaire en Islande de la Société Spéléologique Genevoise, dans le nord du glacier du Vatnajökull. Le réseau sous glaciaire découvert consiste en une traversée sous-glaciaire de plus de 400 mètre de dénivelé pour 2.5 km de développement dans le réseau de Kverkfjöll. Une première exceptionnelle avec un record mondial ! SPELEMAT a fourni du matériel de progression et TechTonique des spéléologgers (datalogger de pression et pluviomètre) et des ibuttons. Société Spéléologique Genevoise, Gérald Favre, Suisse
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Expédition en Terre de Bafin (Grand Nord)La LEDLampe va-t-elle
supporter le climat glacial? Il n'est pas rare que les températures descendent
à plus de -40°C... Herve Krummenacher, Suisse |
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Exploration spéléologique du Folliu Borna (Suisse)TechTonique participe à l'exploration du Folliu
Borna. L'exploration continue à plus de -550 mètres dans le réseau du Folliu... Groupe Spéléo Lausanne, Michel Demierre, Suisse |
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EXPEDITION DU GSC AU TROU SOUFFLEUR (VAUCLUSE) -610mTechTonique participe aux explorations organisées par le GSC Groupe Spéléo de Charleroi dans le Trou Souffleur (Vaucluse). Cet été 2002, le GSC renforcé par le club ASAG (Association Spéléologique et Archéologique de Gouylez-Piéton) et par le Groupe Police de Charleroi, a monté une expédition au Trou Souffleur. Notre objectif était l’exploration et la recherche de nouvelles galeries ainsi que la préparation de plongée « fond de gouffre » et la réalisation d’une étude systématique sur les possibilités de découverte futures, ayant comme but la création d’un inventaire des zones intéressantes à explorer. NOTRE EXPE EN QUELQUES CHIFFRES : Nous avons réalisé 12 sorties spéléo dont 7 sorties de plus de 3 jours sous-terre. soit un total d’heures de spéléo cumulées pour l’ensemble du groupe qui se monte à 2446 heures sous-terre. Nous avons surtout utilisé l’éclairage LED de TechTonique afin de le tester. Sur les 2446 heures d’éclairage, nous avons utilisé le carbure pendant 215 heures soit plus de 2230 heures d’éclairage high tech LED de notre partenaire TechTonique. Petit calcul rapide, nous aurions du consommer entre 65 et 75 kg de carbure. Ce gain de poids est énorme et sans cela nous n’aurions sans doute pas pu faire tout le travail qui a été réalisé. Nous avons utilisé l’éclairage carbure uniquement dans les grandes salles et comme éclairage de secours (la calebombe reste dans le kit bouffe au cas où … ) Autre gros avantage à souligner : plus de calebombe qui accroche dans les étroitures, pas d’éclairage carbure qui s’éteint dès qu’il y a un choc à la calebombe alors que l’on est dans une « oppo » délicate. Nous avons effectué des recherches dans la rivière amont, dans l’aval de la rivière amont (siphon) dans les grandes salles ainsi que dans l’affluent de l’Arpenteur. Nous avons réalisé 2 escalades en artif et nous avons équipé 2 vires. Nous avons découvert 170 m de première ainsi que 2 puits parallèles de 50 m de profondeur qui débouchent dans les plafonds de l’affluent de l’arpenteur. L’amont, les grandes salles ainsi que le siphon aval ont été exploré. Nous y avons relevé les zones intéressantes à prospecter pour les explos futures. Au-delà du siphon aval (l’Abee), il y a une zone qui nous intéressait fortement mais durant l’hiver et le printemps 2002 un groupe du Gard est descendu pour y travailler. Les explos étant en cours, nous avons respecté leur découverte et nous n’avons donc pas été prospecter dans leur secteur. Nous avons testé la longévité des piles et accu rechargeable avec les triled, 5 led et 10 led par rapport aux ampoules normales de la zoom, et de la duo (triled dans la zoom de chez Petzl ). Les résultats sont incroyables: il n’y a aucune comparaison possible. Ce n’est même pas la peine d’en parler. Au niveau confort d’éclairage, nous avons utilisé les trileds au bivouac et les 5 et 10 led lors de nos progressions dans la cavité. La 5 led est très satisfaisante dans les galeries étroites mais devient insuffisante en grosse galerie. La 10 led nous semble plus polyvalente. (dans l’optique de remplacement du carbure pour l’éclairage principal). Petite remarque : la lumière émise par les LED est plus réfléchie par les parois et par l’eau que la lumière de l’acétylène. Nous remercions encore Tech Tonique pour son appui à notre expé. Grâce à TechTonique, nous avons pu bénéficier d’un éclairage high tech qui va j’en suis persuadé révolutionner le monde de la spéléo. Je pourrais encore vous parler de cette expé ou de l’utilisation de l’éclairage de chez TechTonique pendant des heures, mais ne voulant pas être trop lourd à lire, j’en reste là et je cesse de vous embêter avec mes chiffres. Merci d’avoir pris le temps de me lire. Je reste à votre disposition si vous avez des questions ou projets concernant ce gouffre ou concernant l’éclairage de Tech Tonique. Groupe Spéléo de Charleroi, Alain MEYSKENS |
Expé à la grotte de Poll na Grai (Irlande)La spéléo en Irlande présente quelques différences par
rapport à la France, l'acéto y étant pratiquement prohibé, nous avons du
nous tourner vers l'électrique. De secours il va devenir principal, grâce
aux leds cet éclairage principal devient quasiment indestructible. La
société TechTonique a équipé toute l'équipe française. Philippe Moya, France |
Rallye Paris-DakarTechTonique a réaliser des feux rouges de signalisation résistants aux chocs et aux vibrations. Les leds que vous m'avez fourni ont été d'une efficacité rare : même avec les cabochons cassés, après avoir subi des tonneaux, ils continuent à fonctionner. Dommage que je n'avais pas un éclairage de cette efficacité (le phare à décharge m'a lachement laissé tomber),j'aurai continué en nocturne dans les dunes. La petite ampoule dichroïde est totalement ridicule dans ces conditions-là.
Une étape pas comme les autres: Tan Tan / Atar
Il n’est pas encore 2h du mat et pourtant il faut déjà se lever. Pas de chichi, j’ai dormi tout habillé, je saute sur la moto pour prendre le départ. La liaison routière est longue et ennuyeuse ; je dois m’arrêter à plusieurs reprises, les doigts gelés, l’esprit engourdi . En fin arrivent les 100 derniers kms qui nous conduiront au « Mur ».Ces kms sont de la piste, de la dure : imaginez une nuit noire, une piste de +/- 30m de large sablonneuse et caillouteuse, balisée par des torchères car de part et d’autre, il y a des champs de mines, une poussière monstrueuse, les phares des motos, autos, camions qui se croisent dans tous les sens, les chutes…Moi aussi je tombe, l’alimentation de mon GPS est détruite. L’angoisse ! Enfin le départ de la spéciale : du rapide, du roulant, avec quelques passages techniques. En plus des problèmes du GPS, mon tripmaster me fournit des données anarchiques. Pour les caps, je me fie à ma bonne vieille boussole et je fais une évaluation des distances au « pif » en profitant des traces des autres. Passage du CP1, tout va bien, je suis bon dans mon timing, en continuant comme ça, j’arriverai avant la nuit. Vers le KM 320, la catastrophe ! Ma moto lancée à +/- 110km/h heurte une « herbe à chameaux » recouverte de sable , elle part en casquette, c'est-à-dire qu’elle fait des tonneaux avant de me retomber dessus. Un concurrent s’arrête et m’aide à me relever, j’ai très mal au coté gauche et je pense avoir 2 ou 3 côtes cassées. Ma moto aussi a souffert : feux arrières et protections des mains et phare principal détruits, guidon plié, fourche vrillée, jante avant déchirée…Je repars tant bien que mal et dans un cordon de dunes, rebelote. Il m’est de plus en plus difficile de relever la moto et pourtant je m’accroche . La mécanique souffre et chauffe énormément. Je passe le CP2 alors qu’il reste 1h30 avant la fin du jour et une passe de dunes très dangereuse. J’arrive dans ce passage, et je n’en finis pas de chuter. Je vois autour de moi une version « radeau de la Méduse » sauce Dakar avec des concurrents plantés dans tous les sens,des 4X4 sur le toit, des moteurs cassés, des blessés attendant leur évacuation par hélico…DANTESQUE ! La nuit est tombée, je n’ai plus d’eau, mes lèvres se décomposent et la douleur me vrille le côté. Le phare restant n’éclaire pas grand chose. J’ai du changer une bougie claquée, la commande de gaz est restée bloquée à fond avec le sable. Encore des chutes,plus de 30 , je ne les compte plus. Il me faut une demi-heure pour me relever de la dernière et à peine installé sur la moto, je m’endors…et retombe aussi sec ! Je décide de dormir sur place, seul dans les dunes et de repartir le lendemain au lever du jour. Nuit froide, vent de sable, faim, soif, crainte d’être écrasé par d’autres véhicules…la galère ! Vers 6h, je retends les rayons de la roue avant, je répare le cablage GPS et je repars , mais les anti-douleurs pris au CP2 ne font plus d’effet. Le temps file, je commence à angoisser à l’idée d’être mis hors course ! Un peu plus tard, je croise Alexandre Dabanne avec son Mercedes cassé. Il confirme mes craintes : il est 10h et les dernières motos partaient vers 9H30. Tant pis, je finirai cette étape vaille que vaille, pour la gloire, pour ne pas abandonner. Ma moto et moi arrivons avec 3h de retard , le Dakar continue sans nous, mais je ne regrette rien : je suis fier de ne pas avoir abandonné !
Eric Palante, France
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